Conservatoire à Rayonnement Communal Musique et Danse
Suite au succès du spectacle « Queen » donné en 2022, ce nouveau spectacle musical et chorégraphique est un hommage aux artistes et groupes Pop-Rock britanniques des années 60 jusqu’au début des années 80. Vivant, dynamique et festif, ce spectacle s’annonce comme un grand moment de partage Pop- Rock, au cœur des monumentales chansons de groupes et artistes légendaires, tels que D.Bowie, E.John, The Beatles, Queen, The Rolling Stones, Pink Floyd, Deep Purple et bien d’autres !
Ce nouveau spectacle est le fruit d’un partenariat pédagogique fort entre des élèves et des professeurs du Conservatoire de musique et de danse de Montceau-les-Mines et de l’Education Nationale.
Projet pédagogique impulsé par les élèves à partir de 4 ans jusqu’aux adultes et Carole Cantat, Professeure de danse Jazz et Chorégraphe au Conservatoire. C’est un évènement incontournable à chaque fin de saison pour la classe de danse du Conservatoire à Rayonnement Communal de Montceau-les-Mines. Les différents tableaux de danse présentés attestent du travail fourni par les élèves tout au long de l’année. Un spectacle complet où chorégraphies, musiques et lumières vont enchanter les danseurs et le public.
Sensibles au tango argentin et particulièrement à l’esthétique d’Astor Piazzolla, six artistes exerçant au Conservatoire à Rayonnement Régionnal de Dijon entreprennent de créer un quintet en s’inspirant de sa célèbre formation de Tango Nuevo des années 60. Ils proposent une musique issue du tango argentin en mélangeant les cultures classique et jazz. Cette direction musicale et artistique, accentuée par le parcours instrumental de chaque musicien, est renforcée par l’apport de moments improvisés, la variété des saxophones joués et la qualité des arrangements. Nuevo Project Quintet revendique une grande qualité musicale permettant au public de savourer, de s’évader, d’apprécier les multiples facettes du répertoire proposé. Didier Dessus, artiste peintre, créera plusieurs peintures face au public en épousant lignes mélodiques, rythmes et passion imposés par le tango.
Bandonéon : Olivier Urbano Saxophones : Nicolas Woillard Piano : Namiko Magari Marc Esposito : guitare Paul Frizot : contrebasse Didier Dessus : peinture
Comment l’opéra français s’est-il emparé du thème de l’étranger, de l’exotisme et de l’esclavage au XIX° siècle ? Et comment la femme noire fut-elle considérée dans ce contexte ? Fut-elle Esclave … ou Reine ? Découverte du nouveau monde, renouvellement des cartes géographiques, rencontre de l’étranger … A l’époque où la télévision n’existait pas, tous ces sujets ont occupé les scènes de l’opéra, et l’esclavage ne fit pas exception ! Les anti-esclavagistes ont naturellement utilisé ce média pour dénoncer cette atrocité. Artiste lyrique martiniquaise engagée sur ces questions historiques et sociétales, Marie-Claude Bottius propose de s’évader en interprétant les mélodies et air d’opéra composés à cette époque, sous ce nouvel angle. Accompagnée au piano et au violoncelle, elle construit autour des œuvres de Clapisson, Le Code Noir et de Meyerbeer, L’Africaine, une soirée musicale pour mettre en valeur les écrivains, musiciens, et compositeurs abolitionnistes de l’époque. Les mélodies célèbres comme Le Colibri de Chausson et L’Invitation au Voyage de Duparc ont alors une nouvelle couleur !
Sowal Diabi est au départ un évènement créé en Belgique en 2019 sous l’impulsion de Saïd Assadi autour d’une réflexion sur l’apport des réfugiés – Sowal signifiant question en persan et diabi, réponse en bambara. Une assemblée d’artistes aux cultures variées, venue de diverses contrées d’Europe et d’Afrique dont les talents sont mis au service d’une musique qui abat les frontières, qui mélange les traditions et les inspirations à travers des musiques, tantôt dominés par les sons du Mali tantôt par les sonorités des Balkans ou du Moyen Orient. Nous voilà embarqués sur les routes cabossées du Mali, de l’Iran ou d’Afghanistan avec une flopée de titres d’une richesse incroyable. Laissez-vous donc guider dans ce beau voyage musical entre ces deux parties du Monde rarement épargnées par le malheur, laissez-vous porter par la richesse de ce projet, par la beauté des voix, par l’intensité des mélodies de ce collectif, un spectacle où les cultures se mélangent dans une harmonie totale. Une superbe performance !
La Belle Hélène de Jacques Offenbach fait son entrée au répertoire de la compagnie, comme l’on fait récemment Orphée aux Enfers, La Périchole, La Grande duchesse ou encore Barbe Bleue. Depuis 1954, la compagnie Herse IV défend l’Opéra Comique, originalité comme l’est la Zarzuela en Espagne ou la commedia dell’arte en Italie. L’Opéra Comique se caractérise par l’alternance du texte parlé et chanté, il est comique car il fait surtout référence au jeu, l’histoire peut être tragique, rappelons-nous que Carmen est un Opéra Comique.
L’histoire de La Belle Hélène nous plonge dans la guerre de Troie, et de l’amour de la plus belle femme du monde. Nous retrouvons ici tous les thèmes offenbachiens comme l’amour, le jeu, les divinités, la politique, l’absurde, le voyage, le travestissement ou les citations musicales : vous reconnaitrez sûrement le trio de Guillaume Tell, dernier opéra de Giachino Rossini.
Mise en scène : Julien Lamour Scénographie : Julian Lemousy
Photo : Orphée aux Enfers, mai 2016 – crédit photo Remy Pourtier
Un rap joyeux et entraînant, une écriture moderne et impertinente qui s’amuse à décaper au poil à gratter le quotidien d’un petit écolier : ses sujets de prédilection (la maîtresse, le chouchou…), ses joies (la rentrée, l’amitié…), ses peines (les préjugés, les chagrins d’amour, les problèmes familiaux), ses peurs (les caïds de la cour de récré…). Moustache Academy va au-delà du simple divertissement pour faire émerger une vision positive de l’école, promouvoir le respect de l’autre, lutter contre la violence… Une approche originale pour transmettre aux générations à venir de nécessaires valeurs de tolérance et d’humanité…
Auteurs interprètes : Astien Bosche, Mathurin Meslay, Julien Pauriol dit Ed Wood Mise en scène : Julie Chaize Compositeur : Jonathan Oberlander Création son et lumière : Xavier Hulot Production : Avril en Septembre Partenaires : CNV, SACD-Fond Humour, les villes de Bois d’Arcy (78), Marcoussis (91), Saint-Vallier (71), Saint Mathurin sur Loire (49) et Toucy (71), L’Art en Vie. Crédit photo : Stella K
Barnabé Leroux est un comptable maniaque, obsessionnel et surtout très procédurier, depuis la mort de sa femme, il mène une vie de solitaire et ne voit que très rarement Benoit son fils unique. Son seul vrai contact avec le monde extérieur se limite à sa visite hebdomadaire chez sa psychanalyste. Sa vie est réglée, millimétrée même, rien n’est laissé au hasard, jusqu’au jour où il découvre qu’il manque un yaourt dans son frigo… Barnabé en est sûr le yaourt était encore là la veille ! Et si un simple yaourt pouvait changer le cours d’une vie ?
Avec Gérard Jugnot, Arthur Jugnot, Elsa Rozenknop Une pièce de Laetitia Colombani Mise en scène de Ladislas Chollat
Après HØMÅJ À LA CHØNSON FRANÇAISE, venez (re)découvrir MARIÅJ EN CHØNSONS, le spectacle des Blønd and Blönd and Blónd ! French touch, guimauve, variétoche, java-musette, aucun classique ne résiste à leur suéditude passionnée mais corrosive. Vous êtes convié·es au repas de noce de Magnus et Gwendoline. C’est tout naturellement que ce suédois et cette française se sont tourné·es vers les Blønd and Blönd and Blónd pour célébrer leur union. Extraits du menu : velouté de premiers émois d’amour, carpaccio de douceur animale sauce L214, terrine de Franchouille et son émulsion au vin Johnny, plateau de Hømåj de chansons variées à pâte molle, farandole soyeuse de sucre bruni Carla, d’acidulé Lio Ferré, et autres friandises musicales et digestives. En un mot, si vous aimez Ingmar Dassin et Joe Bergman, ce spectacle est pour vous !
« Euphorisant ! »
ELLE
« À découvrir absolument ! »
LE FIGARO
« Inratable ! »
TÉLÉRAMA
« Performance musicale décoiffante ! »
LE MONDE
Chant, ukulélé, clavier, kazoo, flûte de pan : Glär Chant, contrebasse : Mår Chant, guitare : Tø Mise en scène : Jean-Claude Cotillard & les Blonds Création costume : Sarah Dupont Création lumière : Dominique Peurois Création son : Michaël Houssier
Regarder l’horizon après une cérébro-lésion. Se reconstruire et se raconter en textes et en chansons ! 20 personnes sur scène pour chanter la vie d’avant, la vie d’après, le fait d’être toujours soi-même et transformé.e, et le désir de s’inventer une vie nouvelle avec un corps qui a perdu de sa légèreté et des séquelles qu’il faut apprivoiser. 20 personnes qui évoquent les liens qui les attachent à ceux et celles qui leur sont proches et à qui parfois il est difficile de dire. 20 personnes qui chantent une formidable leçon de vie dans une entraînante énergie.
Avec les résidents de la Novelline de Cluny et les adhérents du Groupe d’Entraide Mutuelle de Macon « Un sourire pour la vie »
et Sidonie Dubosc, Valérie Gaudissart, Morton Potash
Regard extérieur: Flore Simon
Lumières: Florian Girard
avec le soutien de la DRAC et l’ARS Bourgogne Franche-Comté, le Conseil Départemental de Saône et Loire, le FDVA 71.
Christophe Alévêque tente d’expliquer le monde à son petit dernier. Un monde pasteurisé et anxiogène où l’on vous sauve la vie en la pourrissant. Avec ses petits poings et le cerveau disponible qui lui reste, il est entré en lutte contre la mièvrerie, l’hypocrisie et le lissage de la pensée. La tyrannie de la bienveillance n’a pas de limites, lui non plus. En libre penseur, il est entré en résistance. À tel point qu’il se demande s’il ne serait pas devenu un vieux con. Et vous ? Venez vous tester !
L’Embarcadère accueille FREQUENCES 80 “Le Concert des Années 80” pour une soirée de folie avec Julie PIETRI, Thierry PASTOR, Sabine PATUREL, Jean Pierre MORGAND leader du groupe LES AVIONS, Caroline LOEB et Christian de RAFT qui seront accompagnés par leurs musiciens et choristes. Vivez toute une soirée dédiée aux Années 80 avec un programme exceptionnel, fédérateur de toutes les générations pour un beau voyage à travers les chansons cultes de ces “Années Bonheur”. Retrouvez, en Live, les Stars des Années 80 sur scène et tous les tubes qui ont marqué la décennie.
Dans un spectacle musical pour petits et grands, Marc Silla vous invite à remonter les rives du delta du Mississippi, à errer dans les bayous au milieu des crocodiles et se retrouver au milieu des fameux crossroads pour vous raconter le blues. De Memphis à Chicago en passant par Londres, il va faire sonner une boîte à cigares au rythme d’une planche à laver, faire murmurer la guitare acoustique et chanter la guitare électrique.
Marc Silla, titulaire du DE de guitare classique et d’une licence de musicologie, passionné par le blues, joue cette musique depuis longtemps et il lui tient à cœur de mieux la faire connaitre aux jeunes générations.
Master-Classes destinées aux élèves du CRC musique et danse de Montceau-les-Mines
Chansons « contre » c’est d’abord un album de Marc Ogeret, paru en 1968 : non pas un pavé unique apporté à l’édifice contestataire contemporain, mais bien une anthologie de la chanson anarchiste et socialiste autour des années 1900. Le spectacle reprend, d’une certaine façon, le fil là où Marc Ogeret l’a laissé. Tricote ce que pourrait être une façon d’être « contre » dans la chanson française des cinquante dernières années. Rebondit, avec l’ambition d’éclairer d’un jour nouveau nos « classiques » : Vian, Gréco, Ferrat, Brassens, Dalida, Souchon… Compositeur, arrangeur, metteur en scène, Vincent Bouchot s’empare de ces répertoires de langue française d’hier, d’avant-hier ou d’aujourd’hui et organise un discours « contre » qui lui ressemble : engagé et virulent, idéaliste, toujours poète, sensible, convaincant. Avec sa complice Nathalie Duong, le couple ébouriffé et tendre de Chansons d’amour se reforme et ouvre au grand large. Porté par un orchestre saignant comme il se doit, il rugit, éructe, susurre et séduit… Il envoie grave !
Une création scénique de Vincent Bouchot Vincent Bouchot : compositions, arrangements mise en scène, chant Nathalie Duong : chant Michel Deltruc : batterie, percussions Claude Georgel : saxophones Christelle Servy : guitare électrique Anaïs Georgel : ingénieure du son Jérôme Rivelaygue : régie générale, mise en lumière Production : XXI.n Coproducteurs : Césaré CNCM (Reims) – La Cité de la Voix (Vézelay)
De la chanson française à l’électro en passant par le rock, la musique du monde et les musiques urbaines le Tremplin Jeunes Talents explore chaque recoin des musiques actuelles. Le Tremplin Jeunes Talents a été créé dans le but de promouvoir ces jeunes artistes talentueux et ainsi les accompagner au mieux dans le développement de leur pratique amateure.
Pascal, 6 ans, libère un ballon rouge accroché à un réverbère. Le ballon se met alors à le suivre partout où il va devenir son ami. Cette étonnante complicité entre le petit bonhomme et le jouet suscite la curiosité, puis la jalousie des autres enfants… La délicatesse du récit est ici soulignée par la musique d’Etienne Meyer composée spécialement pour ce ciné-concert aérien. Appel au voyage dans un univers sonore et cinématographique d’exception, ce spectacle onirique ne pourra que faire resurgir l’enfant qui sommeille en vous…
Judith Pacquier, cornet à bouquin • François Hagenmuller, percussions • David Chevallier, théorbe et banjo • Christine Plubeau, viole de gambe
Avec la complicité d’Etienne Meyer, compositeur
Les Traversées Baroques bénéficient du soutien du Ministère de la Culture (DRAC Bourgogne Franche-Comté) au titre des ensembles musicaux et vocaux conventionnés, du Conseil Régional de Bourgogne Franche-Comté, du Conseil Départemental de la Côte d’Or et de la Ville de Dijon (en convention).
Dans le cadre de la journée internationale des droits des femmes
Pour cette pièce, Rachel Arditi et Justine Heynemann se sont librement inspirées de l’histoire du premier groupe de punk féminin, The Slits, formé à Londres en 1976. À partir de cette aventure, elles ont conçu un récit féministe, accessible à tous, qui se déroule sur plusieurs époques. La fougue des six artistes qui jouent, chantent et interprètent, en plus des membres du groupe, seize autres personnages, nous maintient dans un rythme effréné. La scénographie évoque une salle de concert abandonnée. Les espaces se construisent avec quelques accessoires… Guitares électriques, basse, batterie et clavier complètent ce dispositif astucieux. Mis en scène dans la plus pure tradition élisabéthaine, cet incroyable spectacle nous invite à redécouvrir en « live » les morceaux mythiques des Clash, Rolling Stones ou de Patti Smith… et, bien entendu, des Slits. Un poétique et inédit voyage dans le temps, une épopée joyeuse et intergénérationnelle dans laquelle les jeunes, leurs parents et leurs grands-parents se retrouveront, emportés par la vitalité des personnages et leur volonté de changer les mentalités !
Metteuse en scène, autrice Justine Heynemann Co-autrice Rachel Arditi Assistantes à la mise en scène Stéphanie Froeliger, Marine Torre Avec Rachel Arditi (clavier, chant, jeu), Charlotte Avias (chant, jeu), James Borniche (guitare, chant, jeu), Kim Verschueren (basse, chant, guitare, jeu), Salomé Dienis Meulien (batterie, jeu), Camille Timmerman (guitare, clavier, chant, jeu) Scénographe Marie Hervé Compositeur Julien Carton Lumières Héléna Castelli Chorégraphe Alexandra Trovato Régie son Soizic Tietto Costumes Camille Aït-Allouache Perruques & maquillage Julie Poulain Régie générale Tony Signolet
Production Soy Création & ZD Productions
Coproduction Théâtre de Saint-Maur • Espace des Arts, Scène nationale Chalon-sur-Saône • Scène Europe – Saint-Quentin
Avec le soutien de la Ville de Meudon • Sèvres Espace Loisirs • Le SAX, Espace Musical d’Achères • Théâtre Simone Signoret de Conflans-Sainte-Honorine • Fonds SACD Théâtre
« Ne ferme pas les yeux (dans le noir c’est pire) »
C’est l’histoire d’un petit groupe de réfugiés. Dans un lieu étrange, hors du temps, ils se retrouvent après avoir fui. Ils ont peur : du monde, des autres, d’eux-mêmes, du vide. Peur de l’avenir aussi et de leur passé qui ne cesse de les rattraper. Ils sont muets, incapables de parler ou d’échanger. Leurs pensées, leurs monologues intérieurs, résonnent, rythmés par leurs peurs et leur désir vain de les surmonter. On entend les bruits du monde, les échos de l’intime, qui disent l’angoisse et les instants de joie éphémères qui les traversent. Ils sont un peu de nous, dans ce qu’il peut y avoir de pire ou de meilleur. Leur histoire c’est la nôtre. Comment être et exister ? Comment vivre l’exceptionnel au quotidien ? Ou comment le quotidien devient-il exceptionnel ? Comme les personnages de Becket, ils ne cherchent pas à communiquer quelque chose mais ils tentent désespérément de le dire.
Jeu, Mise en Scène, Écriture et Fabrication des Masques : Françoise Calvel et Laurent Eyllier Musicien et jeu : Christophe Célérier Univers sonore et création studio : Olivier Gaudet Costumes : Desdemone Xolin Création Lumière : Geoffrey Torres Aide à l’Écriture et à la Dramaturgie : Dominique Richard Regard sur la Mise en Scène : Elena Serra
Coproduction : DRAC Nouvelle-Aquitaine Cie Florence Lavaud, Chantiers Théâtre L’Agora, Pôle National du Cirque de Boulazac (24) L’Agence Culturelle Départementale Dordogne Périgord La Direction Régionale des Affaires Culturelles Bourgogne Franche Comté Avec le soutien de L’OARA, Office Artistique de la Région Nouvelle Aquitaine L’Embarcadère et Les Ateliers du Jour, de la ville de Montceau les Mines (71) La Scène Nationale Aubusson (23) Espace Jéliot Haut Béarn (64), Centre Nationale de la Marionnette Festival Brikabrak, Le Bugues (24)
Partenaires : le Département de la Dordogne, Centre de Rencontre et d’Action Culturelle (24), Ville de Boulazac (24), Festival de la Vallée (24), Ville Le Creusot (71), Ville de Neuvic (24) Avec le soutien de l’Office Artistique de la Région Nouvelle-Aquitaine (OARA)
ATELIER « le masque et le corps parlant » : programme pédagogique pour 2 classes de collège
Les dix doigts de la main ne suffiraient sans doute pas à pointer tout ce à quoi Stephan Eicher s’intéresse, en musique, au cinéma, passant des concerts acoustiques à un spectacle avec des automates ou une fanfare, du rock à la techno-pop, de la musique de films aux concerts littéraires. Il reprend la route et propose avec « Et Voilà ! » un spectacle inédit où s’invite la magie. Il y réinterprète les grands classiques de son répertoire et ses nouveaux titres, accompagné de musiciens aux nombreux talents et… d’instruments automates, dans une scénographie pleine de surprises !
Chant / Guitare / Piano / Arrangements : Stephan Eicher Harpe : Noemie Von Felten Guitare / Basse / Batterie : Simon Gerber Piano / Claviers / Programmation : Reyn Ouwehand Mise en scène : Stephan Eicher Scénographie : Alain Roche Conception des décors : Alain Roche et Maxime Fontanaz Mise en lumière : Mario Torchio Conceptions des automates : Tony Decap Régie générale : Bernard Désage Sonorisateur salle : Felix Lämmli Sonorisateur retours : Jen-Michel Ballu Régisseur lumière : Tony Weber Backliner : Sylvain Baffert Technicien décors : Benoit Pithon
Lohan Jacquet a souhaité rendre hommage au peintre Yves Klein en adaptant un texte que celui-ci projetait de développer en ballet : « La mythologie personnelle de la monochromie » (1954), œuvre utopiste et fantaisiste « sur l’histoire de l’art, tendant à montrer le grand combat de la ligne avec la couleur ». Inspiré par la dramaturgie et les indications sonores du peintre, le chorégraphe fait honneur à son désir de représenter le sensible tant émotionnel que physique : « La sensibilité, c’est de l’enthousiasme pur, de la joie profonde, gaie et grave à la fois ». Le vide comme élément est essentiel pour Klein. Fort de résonance avec notre époque d’éloignement des corps, les danseurs nous invitent à éprouver cet « espace immatériel » non comme un écart, mais comme le lieu d’un nouveau rapport entre les êtres.
Interprètes : Lohan Jacquet, Axel Escot, Clara Brunet, Lou André
La compagnie Nahlo a été accueillie en résidence au Théâtre – Scène Nationale de Mâcon et bénéficie du soutien exceptionnel des Archives Yves Klein
« La musique, c’était un besoin irrépressible, une envie qui date depuis toujours ».
Daniel Auteuil confirme ici sa passion pour la musique avec son deuxième album « Si tu as peur, n’aies pas peur (de l’amour)”, composé avec son complice Gaëtan Roussel (Louise Attaque). Accompagné par ses musiciens, la voix si singulière de Daniel Auteuil, son élégance, se décline désormais en chansons. L’homme de scène se livre, c’est pop, c’est rock, avec des accents reggae rumba et folk !
Collaboration artistique : Gaëtan Roussel Piano, batterie : Colin Russeil Guitare, basse : Philippe Almosnino / Arman Méliès Chœurs, ukulélé, piano : Julie Gomel En accord avec Robin Production
« Daniel Auteuil n’en finira jamais de ravir ses fans et ce peu importe le support »
La République du Centre
« Un vrai bijou ! »
Madame Figaro
« Des confessions touchantes sur les déchirures de la vie, les mystères de l’amour… »
Pour conquérir la princesse Yasmine, Aladin saura faire preuve de bravoure, de ruse et de courage. Déjouant les nombreux chausse-trappes, le couple triomphera de la cupidité du terrible Jaffar pour le plus grand bonheur de tous. Des chorégraphies envolées, une musique endiablée, des combats de haut vol et de la grande illusion sont au rendez-vous de ce cocktail ensoleillé d’humour et de bonne humeur. Une féérie pour petits et grands et un merveilleux spectacle familial aux mille et une saveurs !
Metteur en scène & musiques : Jean-Philippe DAGUERRE Chorégraphie : Mariejo BUFFON Création musicale : Olivier DAGUERRE Décors : FARRU Costumes : Corinne ROSSI Combats : Christophe MIE Distribution, en alternance : Aladin : Lionel CÉCILIO/Geoffrey PALISSE/Nicolas GUILLEMOT Yasmine : Natacha KRIEF/Marine SIMON Jaffar : Didier VINSON/Christophe GAUZERAN Hassan Fu Fu et autres personnages : Rémy DE VAUCORBEIL Le Génie : Jonathan PINTO-ROCHA La Mère d’Aladin : Charline BEN LARBI Kamel Oualou : Philippe ARBEILLE Étoile des neiges : Aude MAGNIER Sultan Baaba : Alfred COHEN
Sherlock Holmes Junior réalisé en 1924, présente l’histoire d’un projectionniste dans un modeste cinéma, amoureux de la fille du patron. Un jour, tandis qu’il rend visite à la demoiselle de ses pensées pour lui offrir une bague, son rival dérobe la montre du père et tend un piège au pauvre amoureux. Confondu, il est chassé de la maison tandis que commence pour lui sa première enquête…
La pellicule, finement réalisée par Buster Keaton, vibre au tempo d’une partition écrite par Gilles Alonzo, compositeur de nombreuses bandes originales.
Moustache taillée et loupe au poing, onze musiciens de l’Ensemble Hors-Champ s’emparent de la partition pour replonger dans les origines du cinéma muet. Ombre d’archet, silhouette de pavillon et baguette en l’air rodent ensemble, non loin du faisceau de projection.
Direction musicale : Gilles Alonzo Ensemble Hors-Champ : Clara Buijs, Camille Labroue, Robin Kirklar, Quentin Rebuffet, Nicolas Jacobée, Adrian Saint-Pol, Joséphine Belot, Lise Guillot, Annabelle Minéo, Ulysse Manaud, Marie Le Guern
Placé sous la direction de Vincent Dumangin, professeur au Conservatoire à Rayonnement Communal de Montceau-les-Mines, cet ensemble dynamique propose des concerts panachés d’œuvres classiques, moderne, mêlant également musique de film et musiques du mondes… Laissez-vous surprendre par l’orchestre d’harmonie et sa programmation musicale !
Concert de printemps Samedi 30 mars -20h30 Auditorium Jean Maillot-Les Ateliers du Jour Au programme : jazz, pop, musique de film …En 2ème partie un orchestre invité enchantera vos oreilles
Concerts de quartier L’harmonie municipale rend visite aux habitants des quartiers de la ville. Lieux à définir. Les vendredis 31 mai, 7 juin, 14 juin et 21 juin à 20h30.
MeríDio en grec signifie partager. Danse de dialogue et de brassage, reflet de migrations et de croisements, MeríDio met à l’honneur les différents mouvements et influences de la danse hip-hop. Venues de Chypre, d’Italie, de Grèce, de France et de Bolivie, six femmes ont inspiré MeríDio. Chacune danse avec sa culture, ses codes et son langage. Six femmes du monde issues d’un background culturel artistique riche et varié. Toutes, viennent d’autres styles chorégraphiques et toutes ont choisi la danse hip-hop comme moyen d’expression artistique. Mehdi Diouri a souhaité les rassembler, mélanger leur sensibilité et cumuler leur énergie. MeríDio c’est une bombe de hip-hop féministe et internationaliste qui rappelle que toute culture est affaire de partage et que les femmes font partie intégrante du genre qu’elles ont façonné et modelé. En partageant leurs différences, elles inventent une nouvelle façon de danser le monde d’aujourd’hui.
Direction artistique et chorégraphie : Mehdi DIOURI Interprète : Hilana AMACHI GUAMAN /Mélissa DILVY / Elisavet KANELLAKI / Juliette LEFAUCONNIER / Eva LOIZOU / Martina MATTIOLI Assistante artistique : Anne LE MOTTAIS Musiques : Patrice PRIVAT / Stéphane LAVALLÉE Costumes : Anaïs CAULAT Création Lumières : Fabrice SARCY Technique : Benoît CHEROUVRIER Regards extérieurs : Sylvie ROBALDO & Céline TRINGALI
Avec le soutien de :
La DRAC Bourgogne-Franche-Comté, La Région Bourgogne-Franche-Comté, Le Département de Saône-et-Loire, L’Espace Des Arts, Scène Nationale – Chalon-sur Saône, L’Artdam / Région Bourgogne-Franche-Comté – Dijon, Pôle en Scènes- Pôle Pik à Bron – Lyon, TPE – Théâtre Paul Eluard de Bezons – Paris, Pôle de Développement Chorégraphique Mosson/Montpellier, L’Espace Philippe Noiret aux Clayes-sous-Bois – Paris, Théâtre du Pilier à Giromagny – Belfort, Groupe Traverses France-Paris DANCIMAGE’S, Pôle Action Culturel de Quétigny – Dijon, Centre Ken-Saro-Wiwa – Paris, Centre Eugène Oudiné – Paris, Maison des Arts et de la Culture – Créteil, Les Roches, Maison des Pratiques Amateurs – Montreuil, Centre Socio Culturel Madeleine Ribérioux – Créteil, Les Plateaux Sauvages – Paris
Ce voyage s’inspire de deux réalités : l’histoire musicale de Vienne d’une part et d’autre part, la relation entre le compositeur Robert Muczynski et le réalisateur documentariste Harry Atwood. L’histoire imagine la venue de Robert à Vienne pour la création de son trio pour violoncelle, clarinette et piano. A travers une mise en espace et la lecture des échanges de Muczynski avec son ami, le spectateur découvre comment l’histoire personnelle de Robert se mêle à celle de ses prédécesseurs. Au cours de sa semaine de résidence, il va passer devant la maison de Mozart, voir la tombe de Beethoven, répéter avec les musiciens qui vont jouer son œuvre au Grand Théâtre de Vienne. Il n’aura de cesse de s’interroger sur le poids de ce passé et sur l’accueil que va recevoir sa musique.
Avec Elise Minarro (clarinette), Audrey Dumont (piano), Marie-Bénédicte Rolland (violoncelle)
Master-Classes destinées aux élèves du CRC musique et danse de Montceau-les-Mines
Présentatrice punk à « la voix de clochard » de Groland, mais aussi chroniqueuse sur France Inter, Doully est passée maître du stand-up en racontant notamment avec une aisance et une drôlerie bluffantes son passé d’ex-junkie aux mille et une vies (go-go danseuse, barmaid, dame pipi, doubleuse de porno, créatrice de prêt-à-porter, prof de français en Espagne, etc, etc.), mais aussi sa sobriété…Hilarant !
Spectacle co-écrit avec Blanche Gardin et Paco Perez avec la participation d’Éric Monin
À l’occasion de ses vingt ans de magie, le magicien Adrien Wild présente, avec un brin d’humour, un spectacle autobiographique à la fois drôle et émouvant dans lequel il invite le public à découvrir l’insolite et amusante vie d’un magicien, illustrée par des numéros d’illusions bluffants. Il dépoussière littéralement l’art de la magie, en revisitant des classiques, notamment la femme coupée en deux, qu’il présente pour la première fois avec des boîtes transparentes pour contrecarrer toutes théories ! Il reprend les numéros qui ont fait son succès au Plus Grand Cabaret du Monde de Patrick Sébastien et on y découvre aussi de fascinantes expériences participatives… Un véritable moment magique de convivialité et d’émotions à partager !
Auteur et magicien : Adrien Wild Assistante : Amandine Schuh Assistant : Kevin Gschwind Régisseur : Valentin Alter Production : Productions Freddy Hanouna
« Vous allez voir quelque chose que les amateurs de magie n’ont encore jamais vu »
Du 3 au 18 novembre Vernissage le 3 novembre à 18h30
Exposition réalisée par les élèves de Mireille Kazmine
Enseignante depuis 25 ans en arts plastiques, Mireille Kazmine artiste peintre art-thérapeute, donne des cours de dessin et de peinture et enseigne les arts appliqués à Montceau-les-Mines.
Les cours et stages de peinture sont de tous niveaux et accessibles à tous. Tout au long de l’exposition, Mireille sera présente avec des ateliers interactifs, pédagogiques.
Conte d’un futur commun est une création immersive interprétée par une conteuse, un musicien et un illustrateur. Le public est invité à modifier « en live » le cours de l’histoire. Cette création veut créer un espace propice pour aborder les thématiques sociétales qui aujourd’hui nous préoccupent : l’injustice, l’écologie, la guerre. Le but est que chaque spectateur ressorte animé d’un désir d’activisme et doté d’outils pour modifier profondément son rapport à l’avenir.
Louis Clément : directeur artistique et scénographe Delphine Descombin : conteuse et trapéziste Yovan Girard : chanteur et musicien Maxime Hurdequint : illustrateur Maxime Touroute : ingénieur en arts visuels
En partenariat avec le Conseil Départemental de Saône et Loire PRODUCTION : AADN – Arts & Cultures Numériques CO-PRODUCTEURS ET PARTENAIRES : Planétarium et Ville de Vaulx-en-Velin, Planétarium de la Cité des sciences et de l’industrie de Paris, Planétarium de Nantes, Stereolux – Nantes, Association Antipodes, Centre des Arts d’Enghienles- Bains
Du 9 au 13 octobre 2023 : Ateliers pour classes de primaire à collège / Thématique : Un futur désirable Ateliers pour classes de première et terminale / Thématique : Faire société dans le futur
Ce spectacle, qui regroupe des participant.es et des artistes, est une invitation à réfléchir, à comprendre ce parcours et à ressentir les embûches, les origines, les guérisons. Il est le fruit d’un atelier de création mené au sein du service Addictologie de l’Hôpital de Montceau les Mines par trois artistes musicien.nes, Sidonie Dubosc, Valérie Gaudissart, Florian Girard de l’Association Rêver Tout Haut.
Au travers de sa musique, Novembre Ultra (auréolée d’une récente Victoire de la Musique) nous invite à nous plonger chaleureusement dans la lecture de son journal intime. Dans un élan qui vient du fond du cœur, elle partage avec nous autant d’histoires enrichies des multiples facettes de la vie (des plus lumineuses au plus sombres), mises en musique au son d’une pop patinée d’influences R&B, folk et de comédies musicales. Après des salles parisiennes et une tournée à guichets fermés, c’est à L’Embarcadère qu’elle viendra nous présenter les chansons de son album à succès « Bedrooms walls ».
« La Vie » tout simplement, c’est le titre du nouvel album d’Arthur H. Le chanteur et musicien est de retour avec ses chansons si particulières, sensibles et souvent spirituelles. Sur la scène française, peu d’artistes établis comme l’est Arthur H, donnent autant l’impression de recréer à chaque fois un nouvel univers. Rendez-vous à L’Embarcadère pour un concert qui célèbre la joie, le chaos, le Titanic, l’addiction et les divins blasphèmes… Un concert qui célèbre « LA VIE ».
Arthur HIGELIN : Chant et piano Nicolas REPAC : Guitare, Ukulélé etc. Raphaël SEGUINIER : Batterie, percussion, etc. Pierre LEBOURGEOIS : Violoncelle
Pinocchio, histoire connue de tout le monde, est devenue universelle, celle d’un petit pantin de bois qui veut devenir quelqu’un. Mais comment devient-on quelqu’un ? Si possible, quelqu’un de bien ! C’est la question que nous pose Pinocchio. La route est semée d’embûches, de tentations. À chaque nouvelle étape, chaque nouvelle rencontre, il y a toujours des leurres qui nous détournent de notre but, ce vers quoi nous voulions aller. Quelle petite voix (ici, pas de Jimminy Cricket) écouter pour faire les bons choix et grandir ?
Musique : Thierry LALO Livret : Christian EYMERY Direction artistique et musicale : Pierre FRANTZ Mise en scène : Amandine Du RIVAU assistée de Léna FRANTZ Chorégraphie : Manon FINET et Alexandra FAGET Costumes : Chloé JEANGIN Piano : Olivier TRUCHOT / basse et contrebasse : Benoît KELLER / batterie : Denis DESBRIERES / trompette : Félicien BOUCHOT / trombone : Lou LECODEY / saxophones : Eric PROST Lumières : Vincent TUDOCE Son : Maxime TAVARD Plateau : Charles HADRI
Animée par la B-Side Company / Production Les Rumeurs qui courent
En route pour une nouvelle saison culturelle et voici ce qu’elle vous réserve : des têtes d’affiche, du théâtre, de la danse, de la musique, des spectacles jeune public, des moments où l’on rit, on s’interroge, on pleure, on frissonne, on partage des émotions, on se reconnaît, on découvre et on en redemande…A l’occasion de cette présentation, tout sera passé en revue, rien que pour vous donner encore plus envie !
Sur un air joyeux de mandoline, ce duo d’acrobates saute, court et virevolte. La tête en bas, les pieds en l’air, l’une grimpe sur l’autre, l’autre saute sur l’une. On ne sait plus où sont les jambes et où est le buste.
Avec : Flora Lacornerie, Ruby Mae Shiels et Thibaud Thevenet
Billetterie organisée par l’association Montceau-Żory
Dans le cadre ducentenaire de l’immigration polonaise – en collaboration avec le comité de jumelage Montceau-Żory
Le 3 septembre 1919, la Pologne et la France signent une convention organisant la venue massive de Polonais dans les mines de charbon. Ces centaines de milliers d’ouvriers qualifiés allaient marquer profondément notre région. Un siècle plus tard, Henri Dudzinski, descendant de ces émigrés, a écrit une fresque qui retrace la véritable histoire de ces gens, et entre dans la peau de « Stanis le polak » qui va traverser le XX° siècle dans la vie des corons, la guerre, les fêtes, les mariages, le sport, l’alimentation, la musique, les expulsions, les réussites et la fermeture des mines. Humour et émotion, joie et fête vous attendent pour commémorer le centenaire de l’immigration polonaise en France. Et si vous aimez chanter, danser, manger et boire comme les Polonais, vous ne serez pas déçus !
Henri Dudzinski : comédien / Marie-Laurence Delille : chant / Mise en scène : Bertrand Coq
