JEAN-LOUIS DUCERF

DU 7 AU 30
AVRIL

. . . . . . .

VERNISSAGE
LE 7 AVRIL
À 18H

. . . . . . .

GALERIE DU BAR
DE L’EMBARCADÈRE

Jean-Louis Ducerf, architecte de formation, quand il ne dessine pas sur le coin d’une table pratique une peinture dynamique et spontanée. C’est un bien étrange artiste, il affectionne le carré et les grandes bannières sans jamais s’y laisser enfermer. Aux frontières de l’abstraction, ses compositions savantes combinent graphismes et couleurs, sa peinture interroge, et si pour un œil non initié, il n’est pas toujours évident de la décoder, on sent bien que ce qui nous est présenté n’est pas là gratuitement, qu’il y a du sens et du fond, que les formes ont quelque chose à nous dire. Sa peinture, imprégnée des grands maîtres est aussi une « peinture d’histoires », elle nous interpelle sur notre relation au monde et nous donne à voir une réalité profonde, parfois dérangeante, que la simple représentation dite « fidèle », est bien incapable de traduire dans toute sa complexité.

ANA FLAGA

EXPOSITION

. . . . . . .

GRANDE GALERIE DE L’EMBARCADÈRE


DU 1ER
AVRIL
AU 27
MAI

. . . . . . .

VERNISSAGE
LE 1ER AVRIL
À 18H30

. . . . . . .

Ana Flaga, artiste polonaise, vit et travaille à Żory.
Diplômée de la faculté de peinture de l’Académie des beaux-arts de Cracovie, elle travaille dans des domaines tels que la peinture, le dessin, le graphisme, le happening, crée des cycles thématiques variés – chacun d’eux est consacré à une question qui évoque des émotions chez l’artiste à une période donnée de sa vie.
L’artiste s’intéresse à la nature, au monde moderne, et surtout à l’homme avec toute la complexité de sa nature, ses sentiments, ses problèmes culturels, sociaux et religieux.

HENRI LAMY

EXPOSITION

. . . . . . .

GRANDE GALERIE DE L’EMBARCADÈRE


DU 14
JANVIER
AU 25
MARS

. . . . . . .

VERNISSAGE
LE 14 JANVIER
À 18H30

. . . . . . .

Henri Lamy, né en 1985, est un artiste français basé entre Lyon et Manille (Philippines). Séduit par l’immédiateté et la spontanéité de l’acrylique, la qualité de son travail est mise en valeur par les couleurs vives et expressives de ses compositions, ainsi que l’utilisation du couteau. Initié très jeune par son père, Henri est un admirateur de Pollock et du « dripping ».
Accorder du rêve et de la beauté dans la futilité et dans les actions du quotidien. Des moments qui paraissent à première vue sans importance sont capturés avec un regard neuf et sublimés. Henri laisse une grande place à l’accident, à l’imprévu.
Liberté des techniques, des rencontres, des voyages, du mouvement. C’est là où ses deux pratiques d’artiste peintre et de performeur se retrouvent. L’amour qu’éprouve Henri pour les langues et la découverte de nouvelles cultures le pousse à voyager et documenter ses rencontres en photographies, qu’il dépeint ensuite en portraits et scène ré-imaginées. Les valeurs des différentes actions propulsées par l’artiste se retrouvent dans son travail, où l’humain est au centre de tout.